Co-fondateur de la société de conseil EsTeam et membre fondateur de Change Agents Worldwide, j’ai toujours considéré que la passion et le désir d’apprendre sont les meilleures, voire les seules, façons de donner du sens à l’existence.
C’est certainement cette croyance qui m’a mené, il y a presque 30 ans, après des études mi-scientifiques mi-artistiques (la passion me menait déjà plus que la raison), à travailler pour les grands bureaux de style européens, où je détectais et déchiffrais à l’intention de grandes entreprises les tendances sociales et culturelles émergentes.
Suivre mes passions m’a ensuite amené à créer ou développer de nouveaux produits et services, en tant que designer ou en tant que directeur marketing, ce avant que le design thinking ne devienne une approche formalisée.
C’est la passion toujours qui m’a mené à explorer les possibilités offertes par les nouvelles technologies. Après avoir dirigé le premier site de e-commerce dédié à l’habillement existant en France, puis mis en place la présence en ligne d’un réseau de grandes écoles, je me suis rendu compte à quel point l’internet était en train de modifier profondément notre accès au savoir, l’organisation du travail et l’ensemble de nos interactions sociales.
Depuis maintenant plusieurs années, j’utilise les acquis de cette expérience pluri-disciplinaire pour aider et conseiller les entreprises sur les manières de s’adapter à ce nouveau monde, à en comprendre les enjeux et à tirer parti des opportunités qu’il offre.
« Sonnez en cas d’absence » est le carnet de route de mes découvertes et de mes réflexions au cours de cet excitant voyage.
Si vous souhaitez en savoir davantage sur moi, vous pouvez consulter mon profil Linkedin, ou découvrir de quelle manière je pourrais vous aider sur le site d’EsTeam.
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“j’ai toujours considéré que la passion et le désir d’apprendre sont les meilleures, voire les seules, façons de donner du sens à l’existence”
ainsi débute votre blog
approche Levinassienne par excellence, du sens pour exister et exister pour vivre.
Les modes collaboratives ne sont qu’une niéme façon de contrôler le social car les élus sont absents, ils ont abandonné leur mission pour garder leurs avantages sociaux.
Comme la nature à horreur du vide, le 2.0 comble se vide citoyen.
Les technophiles barbares s’y rajoutent et nous voilà dans l’indigeste virtuel.
Dommage car c’est un bel outil mais d’une neutralité à faire rougir un électeur absentensioniste aux cantonales.