il aura fallu une invitation de Yann Leroux sur Twitter à un travail de traduction collective, et des liens vers ce blog à partir des billets qui en ont résulté pour Emilie Ogez, Mario Asselin, Lilian Mahoukou, Florence Meichel et Hubert Guillaud pour le tirer de sa torpeur.
« Sonnez en cas d’absence », ce titre a donc une seconde fois trouvé sa justification. Ecrire est sans doute une pratique aussi jubilatoire que douloureuse, comment s’en passer ? Le temps de dépoussiérer tout ça, peut-être d’installer WordPress, et nous voila repartis pour de (j’espère) longues aventures.
En attendant, vous pouvez toujours me suivre sur Twitter!